L'été se poursuit même en septembre
Le temps est doux mais la lumière se tamise de plus en plus dès que l'heure du souper arrive. Le temps des confitures étant révolu, arrive le temps des ketchups et des marinades.
Hier, Valou et moi avons fait une double recette de ketchup aux fruits, recette de la grand-mère de Louise Gabias. C'est la meilleure recette à mon avis. La semaine dernière j'ai aussi fait des marinades de petites betteraves mais j'ai gâché le tout en les mettant inutilement à l'autoclave. Les bettes sont ressorties de l'engin rose pâle... Je me reprendrai cette semaine car j'y tiens. Les marinades de betteraves de tante Florida sont absolument délicieuses et c'était aussi la recette de ma mère Françoise.
Les travaux à l'aiguille se poursuivent avec agrément et quelquefois laborieusement. Le tricot du petit cardigan bleu avance de toutes parts mais avec quelques lenteurs bien estivales. Le quilt aux papillons déja illustré sur ce blogue a été décousu et refait, carrés de papillons en moins. Le beige était trop difficile à assortir et cette couleur atténuait trop la joyeuseté des autres tissus. Voici un aperçu de ce que donnera le choix des carreaux finalement choisis:
Le noir domine (photo de gauche) et le dessous ou doublure (photo ci-dessus) sera assorti aux petites pièces rouge vin du dessus du quilt.
Sous l'inspiration de ce livre, me voilà donc à dépouiller mon armoire à tissus pour retrouver mes tissus d'inspiration japonaise. Je découpe des carreaux selon les quantités dont je dispose déjà et les couleurs disponibles. L'assemblage se fait à même le plancher en jouant avec les formes et les tonalités. Le dessous sera comme la photo à droite le montre l'illustre.
Hier, Valou et moi avons fait une double recette de ketchup aux fruits, recette de la grand-mère de Louise Gabias. C'est la meilleure recette à mon avis. La semaine dernière j'ai aussi fait des marinades de petites betteraves mais j'ai gâché le tout en les mettant inutilement à l'autoclave. Les bettes sont ressorties de l'engin rose pâle... Je me reprendrai cette semaine car j'y tiens. Les marinades de betteraves de tante Florida sont absolument délicieuses et c'était aussi la recette de ma mère Françoise.
Les travaux à l'aiguille se poursuivent avec agrément et quelquefois laborieusement. Le tricot du petit cardigan bleu avance de toutes parts mais avec quelques lenteurs bien estivales. Le quilt aux papillons déja illustré sur ce blogue a été décousu et refait, carrés de papillons en moins. Le beige était trop difficile à assortir et cette couleur atténuait trop la joyeuseté des autres tissus. Voici un aperçu de ce que donnera le choix des carreaux finalement choisis:
Le noir domine (photo de gauche) et le dessous ou doublure (photo ci-dessus) sera assorti aux petites pièces rouge vin du dessus du quilt.
Dernièrement j'ai eu la chance de trouver un livre inspirant sur le patchwork à la librairie Clément Morin de Trois-Rivières: Patchwork & quilts en liberté de Jane Brocket, éditions Fleurus.
J'extrais quelques lignes résumant assez bien l'esprit de l'ouvrage:
"J'avais envie de réalisations plus colorées, inspirées par mon imaginaire personnel, davantage basées sur les motifs des tissus que sur la complexité des assemblages."
Des explications claires et simples accompagnent la confection de 16 quilts envoûtants.
Sous l'inspiration de ce livre, me voilà donc à dépouiller mon armoire à tissus pour retrouver mes tissus d'inspiration japonaise. Je découpe des carreaux selon les quantités dont je dispose déjà et les couleurs disponibles. L'assemblage se fait à même le plancher en jouant avec les formes et les tonalités. Le dessous sera comme la photo à droite le montre l'illustre. J'ai reçu comme un cadeau l'aide professionnelle apportée par Louise Gagnon pour faire en sorte que les larges bandes des côtés ne plissent pas. Le problème était que les demi-carreaux des bords se trouvent à être taillés sur le biais.
Quant à la broderie aux points comptés ou points de croix, j'en ai arraché, je dois l'avouer. La première qui a été commencée sur du lin 28 fils au pouce m'a arraché les yeux et la patience.
Deuxième essai: le coton-lin 25 fils au pouce convient mieux pour moi mais le tissu acheté est trop petit pour le projet en cours.
Troisième départ: ça va maintenant beaucoup mieux. D'après Françoise Hitckcock, une référence en broderie, les yeux s'habituent progressivement au type de travail et je vois bien que c'est vrai. Et de plus j'adore...




Commentaires