Peinturer c'est zen

Ne sont-elles pas pimpantes?


Voyez la nuance
 Écouter la Première chaîne de radio-Canada en peinturant : j’aime ! Il y a peu de tâche aussi relaxante. Primo:  s'attaquer aux chaises de parterre, pourries par endroit, envahies d’araignées et de nids de bibittes diverses. D’abord un énergique époussetage. Puis de la peinture plein les fissures et de la corde fine pour solidifier les parties gâtées. Deux couches à l’huile (quelle engeance cette peinture!) Résultat : les chaises de parterre semblent sorties tout droit de Country Living . Il a fallu, en plus des taches de peinture, que je m’enduise de répulsif à insectes car, pour éviter la chaleur d’hier après-midi (première couche), j’ai commencé le travail très tôt ce matin. Les maringouins m’attendaient. Sadiquement je n’ai pas compatis à leur sort quand, bêtement, ils se sont collés à la peinture


Puis pour le reste de la journée, j’ai poursuivi, pinceau à la main, mais peinture à l’eau cette fois, la peinture d'un mur en bardeaux de cèdre au sous-sol. J’avais déjà peinturé d’un blanc hôpital la semaine dernière. L’effet rendu était plus que morne. J’ai trouvé mieux comme couleur. Comment décrire un vert pâle tirant un peu sur le jaune mais au total presque blanc. La nuance est subtile mais combien plus douce.

Un mot sur le bien joli film "Les femmes du 6ième" avec Patrice Luccini.  Film léger et tendre.  L'action se passe début des années 60.  Les bonnes sont espagnoles et le personnage conventionnel  interprété par Luccini  se laisse séduire par la vivacité et le courage des femmes du 6ième dont il ignorait la précarité de leur vie.  Je reverrais ce film avec le même plaisir.

Enfin, voici Nuage: chat énigmatique, doux et froussard de la pire espèce.

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